lundi 14 décembre 2009
Un tableau pour s'y retrouver dans le traitement des escarres
De retour ...
J'avais un peu abandonné ce blog, pensant qu'il ne servait pas à grand chose , que personne ne le visitait et que donc cela ne servait à rien que je continue ...
eh bien je me trompais, j'ai déjà 4 commentaires !! Je remercie donc les personnes qui sont passées par ici :) J'espère que vous reviendrez parce que j'ai plein de choses à vous raconter , des documents à partager etc...
A très vite !
mercredi 28 octobre 2009
Calculs de doses Héparine
Exemples :
Prescription :
Héparine 1.7 mg/h pendant 12h
Quelle quantité totale d'héparine dois-je mettre dans ma seringue ? Il me faut la quantité nécessaire pour 12h soit 1.7 x 12 = 20.4 mg d'héparine.
Oui mais cela correspond à combien de ml ?
On reprend notre formule magique du début :
50mg = 1ml donc
20.4 mg = ?
? = 20.4/50 = 0.408 ml à prélever et à mettre dans ma seringue, que je complète jusqu'à 12 cc d'EPPI, et je règle mon PSE à 1ml/h
Prescription :
Héparine 20000 ui par 24 h.
Admettons que dans votre service on ait l'habitude de préparer les SAP pour 12h, on a donc 10000 ui par 12h.
5000 ui, c'est 1ml, 10 000 ui c'est donc ???? Bravo, vous avez trouvé, 2ml.
Je prélève donc 2ml d'héparine, je complète ma seringue jusqu'à 12cc avec de l'EPPI, et je mets vitesse 1ml/h
Prescription :
Héparine 180 mg sur 12 h
On reprend la formule magique que nous connaissons par coeur
1 ml = 50 mg
x ml = 180 mg
x = 180/50 = 3.6 ml à prélever.
Pour la suite, préparation de la seringue, vous maitrisez.
Alors, il faut savoir que certains hôpitaux ont des protocoles bien particuliers concernant la préparation des SAP, par exemple, on les prépare toutes de la même façon, et c'est le débit qui varie.
Par exemple, dilution fixe 12000 ui (=2.4 ml) dans 48cc.
Exemple de prescription = 10 000 ui par 24 h.
Nous avons une dilution à 12000 ui = 48 cc
soit 10 000 ui dans x cc.
x=(10 000 * 48) /12000 = 40 cc
Pour obtenir le débit par heure, on divise par 24 (bien oui, il faut que 40 cc passent sur 24h, pour ceux qui auraient perdu le fil ;-) ) soit 40/24 = 1.7 ml /h
L'avantage de cette dernière façon de faire est de ne pas avoir à repréparer la seringue d'héparine à chaque changement de dosage. ça parait un peu plus compliqué, mais s'il y a un protocole, en général il y a un tableau avec les correspondances ui/24h -> ml/h
vendredi 23 octobre 2009
Transfu : trois étapes de vérification
Transfu : savoir lire une carte de CULM
mardi 20 octobre 2009
Techniques de soins : Le pose de Voie Veineuse Périphérique
La théorie, c'est bien beau, mais il faut également savoir "techniquer" et ça en général, les étudiants adorent (hihihi c'est plus marrant de poser des KT que de réviser sa cardio!!!)
Je ne vais pas reprendre le déroulement du soin, le matériel qu'il faut etc ... Je vais plutôt tenter de lister des astuces :
1. Ton temps, tu prendras. Installation confortable, temps pour le repérage de la veine, repérage de différents sites possibles, se représenter le trajet de la veine mentalement, essayer de visualiser l'emplacement du KT dans le bras avant de se lancer. Bref, prendre son temps avant de piquer, c'est très important.
2. Ton garrot, modérément tu serreras. Il ne sert à rien de trop serrer un garrot. Avec un garrot, on cherche à interrompre momentanément le retour veineux ; ainsi les veines gonflent car le sang arrive par les artères mais ne peut pas revenir par les veines. Mais si on serre trop, on comprime aussi les artères et les veines ne gonflent finalement que très peu.
3. Ton patient, tu rassureras. Un patient stressé, qui serre les dents, qui respire à grande vitesse, ça n'aide pas. Un patient confiant, rassuré, à qui l'on a expliqué le soin, à qui l'on a fait comprendre que sa participation était essentielle ("vous allez serrer le poing modérément, et quand je vous dirais je pique, vous soufflerez tout en vous détendant, ça en durera pas longtemps") est mille fois plus facile à piquer qu'un patient angoissé. Vous pouvez même tenter une petite blague, si votre patient a de l'humour.
4. D'alcool, tu useras. Avant de commencer voter protocole bétadine 4 temps, utilisez donc un peu d'alcool, vous verrez c'est magique. Et vous avez oublié l'alcool dans la salle de soins ? Prenez donc la solution hydro-alcoolique qui est dans votre poche, ça marche aussi ;-) bon ce n'est pas économique....
5. De l'imagination, tu auras. Vous ne trouvez aucune veine ? Mais alors vraiment aucune ? Demandez au patient de poser le coude comme pour un bras de fer. Regardez sur le côté externe du bras. Ah oui, il y en a une, là. A vous de faire un petite gymnastique, tordez-vous en deux ! Ou alors, même si ce n'est pas recommandé, regardez sur le bras, oui, oui, le bras au dessus du pli du coude. On trouve parfois ici des veines qui n'ont pas été maltraitées par les années !!!
6. Le bon calibre, tu choisiras. J'allais oublier de parler de ça ! Inutile de vouloir à tout prix poser un KT vert à un patient qui a juste 3 g d'Augmentin par jour en injectable ... Les ptits KT roses, c'est pas mal non plus... Par contre, ne mettez pas un petit bleu pour une transfu (tentez un vert, c'est mieux, encore que...)
7. Des contre-indications, tu te méfieras. Attention aux personnes ayant subi une mammectomie d'un côté. Ne pas les perfuser par là. Et puis, si vous avez le choix, chez les droitiers, perfusez à gauche et vice-versa.
8. Une fois posée, de ta VVP, tu prendras soin. Même si vous adorez piquer, entretenez vos VVP (les patients, en général, n'aiment pas être piqués 3 fois dans la journée...) Alors, utilisez un Régulateur de débit, ça évitera les couacs dans les horaires de vos perfs. Fixez correctement vos KT, et surveillez les signes d'inflammation (DROC) Eduquez vos patients en leur demandant de sonner si un reflux de sang apparaît. Et pour les patients déments, vous pouvez mettre une bande velpeau autour de votre KT (bon, d'accord, vous surveillerez moins bien) pour éviter qu'ils l'arrachent (cela n'est pas garanti à 100%)
9. Si tu n'y arrives pas, l'IADE tu appeleras. Bon, en pratique, tu demandes d'abord à ta collègue. Mais si échec, c'est Dieu, euh non, l'IADE que tu appelleras au secours. Cette espèce hybride mi-infirmier, mi-médecin (euh je plaisante là) est très doué pour les poses de VVP
10. Et enfin, si tu y arrives, fier de toi tu seras. Bah oui, quoi... Il ne faut pas rester sur un échec, alors valorisez vos efforts et progrès. C'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Et sinon, si vous avez d'autres astuces à nous faire partager, n'hésitez pas ;-)
jeudi 15 octobre 2009
La douleur : chapitre 2 : Mécanisme
Alors, ça peut paraître un peu compliqué en cours, voilà pourquoi je vais simplifier et synthétiser ce que j'ai appris afin que cela soit plus digeste.
Tout d'abord voici un petit schéma réalisé par mes petite mimines qui va vous aider à comprendre le charabia qui suit.
Alors, tout commence par un stimulus douloureux, une lésion tissulaire. Les terminaisons nerveuses, situées sur la peau et les organes, font naître un message nerveux dit "nociceptif" (ça vient du latin, et ça veut dire "nuire, nuisible")
-> C'est en fait une alerte qui va être transmise au cerveau, le mettant en garde contre un danger.
Le rôle premier et utile de la douleur, c'est ça, nous avertir d'un danger. Prenons le cas de l'infarctus du myocarde, si nous étions incapables d'en ressentir la douleur, nous ne serions pas alertés et les chances de survie seraient quasi-nulles.
Des terminaisons nerveuses, le message va se diffuser grâce aux nerfs périphériques, puis va remonter la moelle épinière pour arriver au cerveau.
Mais arrêtons-nous un instant sur la moelle épinière, car il existe sur celle-ci un système régulateur de la douleur. Il s'agit d'un filtre, que l'on peut représenter par une porte. Plus la porte est ouverte, plus le message va passer. Ce système de porte s'appelle le "gate-control". Si la "porte" est fermée, aucune douleur ne sera ressentie.
Pourquoi est-il important de savoir ça ? Parce que certaines substances naturelles et chimiques sont capables de refermer un peu, beaucoup cette porte. (La morphine, ça vous dit quelque chose ?)
Bref, revenons à nos moutons. Le message nociceptif va donc arriver au cerveau, et c'est dans celui-ci, au niveau du thalamus et du cortex que le mesage nociceptif va devenir message douloureux. Effectivement, le cerveau va décoder la douleur, la percevoir (s'agit-il d'une brûlure, d'une piqure, d'une crampe ... ? ) la comparer avec les expériences douloureuses passées (ai-je déjà ressenti ce type de douleur?)
Si le cerveau analyse ainsi le message qu'il reçoit, c'est pour ordonner une réaction motrice : je me pique, hop je retire mon doigt de l'aiguille et vais me passer sous l'eau froide (le froid inhibe la transmission du message nociceptif)
Normalement, j'ai été claire. Du moins je l'espère. Bientôt je vous parlerai de l'évaluation de la douleur, qui est très très très importante.
La douleur : chapitre 1 : Généralités
Nous allons parler d'un sujet qui me tient +++ à coeur. La douleur. Ne laissons plus les patients souffrir. Il existe des moyens thérapeutiques aujourd'hui pour répondre à la douleur. Commençons par quelques généralités.
Définition :
A connaître par coeur, bien entendu :
"C'est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à un dommage tissulaire réel ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage"
Déjà, première chose : cette définition nous montre d'emblée que la douleur ce n'est pas seulement quelque chose de physique. C'est physique certes (sensoriel) mais c'est quelque chose d'également "émotionnel"...
Nous pouvons donc d'ores et déjà en conclure que l'expérience de la douleur varie selon la personne. Pour un même stimulus douloureux, une personne va souffrir plus qu'une autre, va l'exprimer plus ou moins qu'une autre.
Et cela, c'est en lien avec :
- Nos représentations personnelles de la douleur
- Nos expériences douloureuses passées
- Notre culture, notre éducation
- Le sens attribué à la douleur
- etc ...
Mais dans tous les cas, seule la personne souffrante est juge de sa douleur. Ce n'est pas à nous de décider que tel patient a mal ou pas.
Il faut distinguer la douleur aîgue de la douleur chronique.
La douleur aigue, d'une durée inférieure à 3-6 mois, est un symptôme. Elle a donc pour but d'alerter sur une lésion tissulaire récente, afin d'engendrer un traitement. Exemple : Vous vous coupez, vous avez vite mal, vous allez vous faire soigner.
La douleur chronique, c'est la douleur-maladie. C'est une douleur qui est là depuis plus de 6 mois, qui est inutile et destructrice. Elle a un impact sur la vie sociale du sujet, sur son état psychologique; Notre objectif thérapeutique est donc de traiter au mieux cette douleur, et de réadapter le patient à sa vie. Ce sont par exemple les douleurs d'arthrose, de tassements vertébraux, de cancer évolué...
Voilà pour une première introduction en douceur ... Plus tard je vous parlerai des mécanismes de la douleur, de l'évaluation, et bien entendu du traitement !
A bientot
lundi 7 septembre 2009
Cardio : les anticoagulants : Héparine et AVK
-Thrombopénie (à surveiller, dosage plaquettes 2 fois par semaine +++)
Cardio : Introduction aux anticoagulants : L'hémostase
-> Comme pour tout travail à la chaîne, s'il y a un maillon faible on ne parvient pas au résultat (ici l'hémostase)
-> Une chose n'existe que parce que son contraire existe, soit il faut savoir qu'il existe des fateurs qui contrent l'action des facteurs de coag, des antidotes en quelque sorte.
Voilà, je vous laisse digérer tout ça, essayez de en pas vous compliquer l'existence, mais de comprendre les points essentiels qui font que la coagulation se fait et se régule dans l'organisme.
See you later !!
dimanche 6 septembre 2009
Les antidotes
Un antidote, c'est une substance s'opposant aux effets d'un poison ou médicament.
Donc c'est important en cas de surdosage médicamenteux.
Les principaux à connaître :
Médicament -> antidote
Morphine, Morphiniques -> Naloxone (Narcan)
Benzodiazépines -> Flumazénil (Anexate)
Paracétamol -> Acétylcystéine (Fluimicil, Mucomyst)
Héparine -> Sulfate de protamine
Anti-vitamines K -> vitamine K
Digoxine, digitaliques -> Anticorps antidigoxine (Digidot)
Il s'agit là des principaux, il en existe plein d'autres mais je ne retrouve plus mes cours et ma mémoire me fait défaut !
Lecture de l'ECG : Acte 4 - Le Bloc Auriculo-Ventriculaire
2. BAV II
Le BAV II correspond à l'interruption intermittente de la conduction auriculo-ventriculaire. C'est-à-dire que parfois la conduction va se faire, parfois pas.
Sur l'ECG, nous pouvons donc trouver des ondes P "bloquées" c'est-à-dire non suivies de complexes QRS. Si vous vous représentez cela électriquement, il faut visualiser un influx électrique qui part de l'oreillette et qui va nulle part.
C'est facile à reconnaître un BAV II à l'ECG, il suffit de compter le nombre d'ondes P et le nombre de QRS.
3. BAV III ou complet :
Le BAV complet, c'est une absence complète de conduction auriculo-ventriculaire. On retrouve parfois des complexes QRS qui battent grâce à un foyer électrique ectopique.
Le BAV III est une urgence vitale !
4. Traitement :
-> Arrêt de médicaments qui pourraient être en cause
-> Dans tous les cas, le traitement dépend de la tolérance (pour les BAV I et II, puisque le III est une urgence rappelons-le !)
-> Traitement IV par isoprénaline (=Isuprel) : l'isoprénaline est un sympathomiméntique bêta qui augmente la force de contraction du myocarde, et donc sa fréquence cardiaque. Il favorise la conduction auriculo-ventriculaire et l'excitabilité. Surveillance ECG continue +++ car il faut régler le débit de perfusion en continu. Pour info, ce traitement doit être à l'abri de la lumière, il faut donc utiliser des poches de perfusion et des tubulures opaques (ou bricoler avec du papier aluminium). Il est conservé au réfrigérateur.
-> Pose de pace-maker +++
vendredi 4 septembre 2009
Lecture de l'ECG : Acte 3 - La tachycardie ventriculaire (TV)
La TV, ce sont en fait les ventricules du coeur qui s'excitent anormalement.
C'est grave, car souvent mal toléré, et les ventricules en TV se fatiguent, et là, ils peuvent passer en fibrillation ventriculaire, et ça c'est très très grave (cf NB)
La TV, c'est facile à reconnaître sur l'ECG : il y a plein de QRS, assez larges. La fréquence cardiaque est supérieure à 120
On ne voit même plus les ondes P.
Si la TV est bien tolérée par le malade, c'est-à-dire s'il n'a pas fait un collapsus et est encore conscient, on tente les médicaments (injectables car c'est quand même urgent, là)
Sinon, choc électrique.
NB : la fribrillation ventriculaire :
Là, c'est très très grave, car la contraction des ventricules est inefficace. Imaginez que c'est un coeur qui tremble de façon superficielle, qui "vibre" comme votre portable. Il y a donc arrêt circulatoire et très vite survient l'arrêt cardiaque.
Sur l'ECG, ça donne ça :
Du grand n'importe quoi, en fait.
Le traitement, c'est le choc électrique, la défibrillation, quoi.
Gérontologie : les nouvelles "méthodes" pour le soin aux personnes démentes - Liens
Je lui ai donc donné quelques liens intéressants que je vous invite à visiter :
www.alzmauricie.org Le site de la maison "Carpe Diem" à Trois-Rivières, Québec. Nicole Poirier, directrice de cet établissement, adopte une prise en charge "familiale" "conviviale"... Un film a été consacré à cette méthode "Alzheimer, jusqu'au bout de la vie" avec une "comparaison" (je n'aime pas ce terme) avec une maison de retraite française.
www.pages-perso-orange.fr/cec-formation.net/ Le site d'Yves Gineste, Rosette Marecotti et Jérôme Pellissier, fondateurs de la philosophie de l'Humanitude. La philosophie de l'Humanitude, c'est vingt ans d'études au chevet des malades... Leur livre vaut le détour.
www.jerpel.fr Le site de Jérôme Pellissier, cité plus haut.
http://membres.lycos.fr/papidoc Site utile pour la gérontologie en institution ou à domicile.
J'approfondirai bien sûr ces points (la géronto, c'est comme la cardio, ça ma passionne) dans d'autres articles ...
A bientôt !
jeudi 3 septembre 2009
Lecture de L'ECG : Acte 2 - La FA (fibrillation auriculaire)
Lors d'une FA, les oreillettes fonctionnent de façon anarchique, n'entraînant pas systématiquement de contraction ventriculaire, on retrouve alors sur l'ECG plusieurs ondes P pour un QRS. (cf premier tracé, flèche rouge)
Voici une petite animation qui explique l'AC/FA. En rouge, l'influx électrique.
2. Conséquences de l'AC/FA
-> Contraction rapide et irrégulière des ventricules, pouvant être responsables de malaises.
-> Formations de thrombus pouvant être reponsables d'AVC /!\ Risque multiplié par 5 /!\
-> Insuffisance cardiaque à long terme
3. Traitement
Un mot rapide sur le traitement (vous aurez le droit à des supers cours de pharmaco !!!)
3.1 Médicamenteux :
Il s'agit pour le patient de prendre à vie des anti-arythmiques (amiodarone, digitaliques...) dont les effets secondaires ne sont pas sans risque
Il y a nécessité pour le patient de prendre des anti-coagulants (AVK +++) pour éviter le risque d'AVC liés aux thrombus.
3.2 Non médicamenteux
C'est le choc électrique externe. Il permet une repolarisation complète des fibres nerveuses myocardiques. Mais le risque de récidive de l'AC/FA est élevé.
mercredi 2 septembre 2009
La lecture de l'ECG - Acte 1
2. L'influx électrique poursuit sa route vers le noeud n°2, appelé noeud septal (car il est au niveau du septum, qui est la séparation entre oreillette et ventricule) ou encore noeud auriculo-ventriculaire (logique) ou encore noeud d'Aschow Tawara (nom de quelqu'un probablement très célèbre en cardio, moi pas connaître).
3. De là, l'influx électrique se promène sur le faisceau de His, qui est divisé en deux (droite et gauche) puis se déplace jusqu'aux fibres nerveuses du réseau de Purkinje, permettant ainsi la contraction des ventricules. (onde QRS)
Je suis sûre que c'est plus clair, maintenant !
Dans un autre épisode de cardio, je vous raconterai la belle histoire des FA, tachycardies ventriculaires etc etc ....
A bientôt !
Les anémies - Acte final
Cardio : une méthode simple pour comprendre les troubles du rythme
Bref, j'ADORE la cardio ! Je suis une grande savante dans ce domaine (aïe mes chevilles !) parce que la cardio, y'a rien de plus simple et logique ! Si vous avez des bonnes notions de plomberie et d'électricité, alors ce sera encore plus simple !
Bon, cette vidéo traite plutôt d'electricité ... Les troubles du rythme, c'est ce que j'ai compris en dernier, mais en fait c'est très simple ! Regardez ce professeur nous expliquer. (ne cherchez pas le son, y'en a pas)
Bon, je n'arrive pas à insérer de vidéo, alors je vous mets le lien :
http://www.youtube.com/watch?v=4.VsdD1YaFk
Les anémies - Acte 2
Les anémies - Acte 1
2. Anémies régénératives ou non régénératives ?
J'étale ma science, pourquoi ?
A quoi sert ce site ? A qui est-il destiné ?
Ce site est destiné aux infirmiers/infirmières diplômées ou étudiants.
Je suis moi-même infirmière depuis bientôt un an, et un constat à faire : j'ai envie de retourner à l'école ! Le savoir me manque, alors je continue à me cultiver. Et je vous invite à en faire autant !
Bonne lecture